Samedi 6 octobre 2007 à 21:02


Tout le monde a droit à une deuxième chance,
Je crois que ça va continuer.
En attendant j'ai eu des beaux cadeaux.
Mouhaha, vive les cartes bancaires.


Vendredi 5 octobre 2007 à 18:46

On aura la réponse Dimanche, lorsque les questions difficiles auront eu leur réponses, difficiles aussi. Mais je reste debout. Quoi qu'il arrive, on ne peut qu'avancer. La vie c'est la vie, j'avance toujours, parce que reculer signifie retourner dans le passé mais comme akunamatata, c'est pas possible, de ce fait on avance toujours. Et puis, (presque) un de perdu, dix de retrouver. (un déja en fait.) Mais tout ça c'est des secrets, bande de veinard. Alors surtout faut rien dire chut chut. Puis je vous faire confiance?

Jeudi 4 octobre 2007 à 14:52







Bah on s'y attend pas forcement, la journée suit simplement son cours. Je rentre, un peu penchouillarde, c'est la dernière fois que j'ai élu un délégué au lycée. Et puis, ça vibre. après avoir ouvert la porte, les fenêtres, les volets. Je fais cuire le cordon bleu (ça sent bon le cordon bleu qui cuit). Je mange et le téléphone vibre. Je lis, mais qui est ce? Laurine. elle est là, toujours là, même quand elle est pas là. Juste que quand on nous dit qu'on compte pour un coeur, on a les joues qui deviennent rouges et qui chauffent, comme si on avait une bouillote tout près de la peau, et ça nous brûle, alors on se dit et bah moi aussi je l'aime cette fille, Merci.
Et puis j'aimerai aussi vous dire que je voudrai commencer le Tuba, et j'aimerai trouver quelqu'un qui en joue pour me dire comment ça fonctionne. Parce que le Tuba, c'est impressionant, pas commun, les tuyaux ils se font la course pour arriver le premier au pavillon, et en fait, c'est toujours le même qui gagne.












Mercredi 3 octobre 2007 à 14:47


















Oublier. Oublier, oublier.
Partir loin, dans des endroits où je ne peux qu'oublier.

Les choses reviennent sans cesse.
Un vrai leitmotiv, une vague qui se fend sur la plage.

Et qui revient inlassablement. Je dois me jeter sur la rive.
L'eau va monter.
Et je me ferai emporter.
C'est tout, me laisser aller au loin, qui pourrait m'apercevoir?

Je veux juste oublier.
Les clapotis des vagues m'avaleront, très profondement, jusqu'en bas de son ventre
Avalé dans les sarcasmes de cet élément qui travaille
Jour
et Nuit.
Sans relâche, l'eau voyage
Je veux voyager avec elle.
Oublier, Ne viens pas me chercher!
Tu feras peut être parti de l'oubli,
Tu couleras avec moi
Mais loin de moi
Seul
Là bas.

Mardi 2 octobre 2007 à 11:13


"Le Bûcheron était de l'humeur de beaucoup d'autres
gens, qui aiment fort les femmes qui disent bien, mais qui trouvent
très importunes celles qui ont toujours bien dit."
Charles Perrault
Comme quoi les mecs déja à l'époque de Louis XIV...


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