Samedi 30 juin 2007 à 15:45



Nous étions libres, les regards fuyants, la bouche pleine de cette pate pateuse qui reste toujours, ce gout si amer, qui nous fait tourner sur nous même, et vivre. Arrosée par la pluie, je marche dans la rue, pour rejoindre la voiture. Mes cheveux sont trempés, je vais attraper une rhume, j'éternue, je saute dans la flaque d'eau, j'éternue plus fort, j'ai froid mais je ne grelotte pas, car la fraicheur de la soirée s'est incrustée en moi bien auparavant, je n'ai plus le temps d'avoir froid, je grelotte juste à cause d'un trop pleins de sensations et de retrouvailles. J'aime regarder la lumière et voir la pluie tomber, une pluie fine, très fine, à peine perceptible, elle ne fait pas de bruit, on entend pas de plouf lorsqu'elle s'endort sur le sol, on sent juste qu'elle mouille nos vêtements et qu'elle brille au bouts des cils.


Anne ou le grand saut de l'arbre.




Vendredi 29 juin 2007 à 12:56


Tata ça me fait plaisir que tu lises ce que j'écris.

Vous, ça me fait plaisir que vous me suiviez.
Moi, j'aime écrire ici, et
Surtout j'aime m'arrêter parfois pour mieux recommencer.
Quelques jours suffisent.
Je sens que mes vacances commencent vraiment.
Il me manquait. Nous nous sommes vu.

Il y a eu cette promesse.
Comme une caresse qui s'engage à être belle.
A être vêcu, et à dire et faire la vérité.
Il y a ce moment que j'attends.
Ce un jour qui arrivera certainement.
Mais j'espère ce bientôt.
Il y a cette caresse qui promet un ciel bleu
Dans l'obscurité de ces instants fades et et lents.
J'attends la brillance du soleil
Pour réchauffer ces petits moments d'attente
Pour éclairer la journée du Centenaire.



Mercredi 27 juin 2007 à 15:20

Je ne sais pas si je reste ou si je pars.
Pour l'instant je crois que je stop
Quelques jours ou quelques semaines.
Si je pars, je vous dirai.
Mais je suis quand même dégoutée du comportement de cette personne.


Lundi 25 juin 2007 à 18:24

J'irai ailleurs tant pis.
Mais c'est vraiment stupide bête et méchant.
J'espère que les gens qui me suivent habituellement me suivront ailleurs.
Et s'il te plait, si tu as envie d'écrire des conneries, écris les bien.
Sans fautes de conjugaison de préférénce.
Je reviendrai au futur ya pas de S


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