J'écoute les battements de mon coeur.
Quelques mots d'amours.
Je descends de mon lit. La nuit était étrange. Pleins de choses qui se frottaient les unes aux autres, tout ne peut pas tenir là dedans. Une idée pousse une autre prend sa place. Pousse toi c'est à moi maintenant! Je suis désolée, une chose après l'autre. Elles défilaient à 1000/h, comme lorsqu'on voit défiler sa vie, sauf que là c'était mes petits pensées nocturne. Je voudrai déja y être. Et sentir que tout se remet en place, que les choses de l'année se rasseaoient sur leur chaise annuelle et qu'elles y resteront assises jusqu'aux prochaines grandes vacances. Elles risquent d'attraper des courbatures au derrière, à force de l'écrabouiller.
Je voudrai déja y être, dans cette course au train, ne pas le louper, arriver à l'heure pour être là bas en temps et en heure, pour ne pas rater ce grain de folie à nous. C'est trop dur d'attendre un mois, pour un week end. D'habitude on attend la semaine pour le week end. Je n'aime pas les autres week end. Je n'aime que ces week ends là où je suis là bas. Là bas, c'est jolie ce mot, à la fois rempli d'horizons et d'histoires différentes, c'est la promesse de quelque chose de nouveau, d'inconnu, quelque chose qui peut nous faire frissoner ou bien pleurer. Ou même quelque chose qui peut nous rendre heureux.
LÃ bas.