Jeudi 13 septembre 2007 à 19:08



Dans la vie, on doit choisir. Pourquoi ça et pas autre chose? Paris ou le Mans? La sorbone ou la vieille fac du Mans? Mes amis, ou mon amour? Ma vie ou mon futur? Lui ou toi? Toi biensûr. Je t'aime trop, t'as beau me manquer, t'es irremplaçable, alors que lui... Toi oui, toi l'autre, arrête de me tourner autour, c'est inutil, tu n'arriveras à rien. J'ai compris ton jeu, tu es fourbe, menteur, tu fais semblant, tu n'as qu'une idée, garde la, je n'en veux pas. Je veux te garder, autre toi, que j'ai déja en moi, sous ma peau, dans le sang de mon coeur, dans la bouche, dans la voix, dans le sommeil. L'autre toi, oui, tu m'as rejeté, qu'importe! J'ai trouvé mieux que toi, et vas au diable. Parfois, on doit choisir, prendre son envol, ouvrir ses ailes, partir et vivre enfin, sans plus se confiner dans quelques recoins de la ville qui nous attirent loin de la vérité et de la réalité, dans une utopie irréalisable. On veut y croire mais l'espoir est parti. Redescendons sur terre et arrêtons d'y croire, vivons une fois pour toute, sans pourtant ne plus rêver.


Mercredi 12 septembre 2007 à 15:04


Encore une video gobage celle de Benoît qui a testé la méthode.
Je le revois, s'étouffer avec ce pauvre flamby.
Vive les scouts (et les feux de camps)



Mardi 11 septembre 2007 à 12:12


Platon ne m'inspire pas vraiment, et son pote Socrate non plus. Mais le sujet sur l'art oui, en quoi un monochrome est il beau? S'il reflète un sentiment venant du peintre... Le manque se fait dur, je crains chaque soleil qui se lève le matin, je ne sais comment ma journée va se passer, et être seule le soir devient une obsession. Après un mois de vie commune, je passe au néant, au vide le plus total, et je dois me réduire à un téléphone noir, dans une chambre aux murs bleu. Je parle, tu parles, nous parlons, et le temps s'éffiloche à l'allure d'une petite pelotte de laine, que la grand mère d'à côté utilise pour le polo de son petit fils. L'odeur de ton cou n'est plus saisissable. Il y a deux semaines oui, elle était encore un peu présente dans mon pyjama, dans mon doudou, dans mon pull, en moi, dans mes cheveux. Mais plus maintenant, je ne sens plus rien, tu es trop loin pour que je capte quoi que ce soit, le gouffre s'agrandi de jour en jour, je n'en vois plus le fond. Je ne suporte plus de te savoir là bas, et d'être ici, en gémissant bêtement des mots cons au bout du fil, c'est assez frustrant, je ne reçois pas d'affection, je voudrai t'en donner, mais comment m'y prendre? Je ne sais plus comment agir, ni quoi penser, je me contente de faire ce décompte dérisoire qui me fera voir le bout. J'emmènerai dans mes bagages Laurine et Elsa, elles seront là, tout près de moi, pendant ces deux heures dix d'attente, insoutenable, j'arrive je suis là, dans ce train pourri, j'arrive, sois là lorsque je vais arriver, à l'heure.



Lundi 10 septembre 2007 à 17:06




Je pensais que ce film allait être nul, trop dans le style 'pauvres petites filles riches elles sont malheureuses avec tout leur argent' et puis en fait, je trouve des acteurs géniaux, qui touchent l'âme du spectateur (enfin moi perso). Je ne sais pas quoi penser à propos de la réalité de ce qui est raconté, si c'est vraiment ça, dans les triplex du XVIème des PDG des grandes entreprises. Un vrai baisodrome pour la petite fille à papa qui prend de l'héro ou de la coc? Faut il y voir un malaise, ou est ce juste un moyen de se prendre pour une adulte responsable, alors que les faits prouvent le contraire... Quoi qu'il en soit, ce film est beau, et je me suis surprise à avoir la larme à l'oeil (moi qui ne pleurs pas souvent devant un film).

Dimanche 9 septembre 2007 à 21:47

Je suis en train de faire la vaisselle
Demain je vais avoir un souci en littérature.
On a un contrôle sur les 4 livres.
Je ne les ai pas lu.
Je suis dans la m*rde.

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