Samedi 24 novembre 2007 à 14:23





C'est drôle, dans un test de photos sur internet, ils disent que je ressemble à Cate Blanchett, Ashton Kutcher, Tom Welling et Salma Blair. Sympa le mix de tout ça...



Mardi 13 novembre 2007 à 23:37



Mardi 13 novembre 2007 à 11:41

Je me rappelle de ma jeunesse (qui n'est finalement pas si loin, à vrai dire je suis en plein dedans!), de ma jeunesse de jeune petite fille qui était fan des Spices girls. Je collectionnais les photos de ces filles, pour qui je vouais un culte affolant, je voulais m'acheter ces supers chaussures Spice girls, qui ressemblaient à des écrases merdes, en couleur moutarde un peu bizarre. A la récréation, c'était du délire, on était toutes là avec nos albums à essayer de dégoter la perle rare, THE photo, celle d'Emma, en noir et blanc, on se battait toutes pour l'avoir, parce que c'était une rare (si des garçons passent par ici, ils doivent aussi comprendre de quoi je parle:carte magic, pokémon et j'en passe). Bon alors on savaient aussi toutes par coeur leurs supers chansons:Wannabe, 2 become 1, Say you'll be there, Space up your life, Stop... Un vrai phénomène, elles avaient des surnoms vraiment cools du style Baby Spice pour Emma, Ginger Spice pour la leader Gery, Sporty pour Mel C, Scary spice pour Mel B et enfin Posh Spice pour notre Madame Victoria Beckham. Ah oui aussi, elles étaient plutôt dans le genre féministe avec un slogan qui décoiffaient tout le monde Girl power. Et tout ça pour dire, que l'autre jour, je me balladais sur You Tube et là, je tombe sur l'un de leur clip que j'adorais quand j'avais 8 ou 9 ans. Il se passe dans le desert, elles chantent tour à tour, avec de minis chorés pas très difficiles, en même temps elles sont habillées avec des tenus en cuir, elles semblent avoir quelques difficultés à bouger. Ceci dit, je me dis qu'heureusement qu'elles ont changé de styliste, car avant... C'était pas ça, jugez vous même. on comprend pourquoi Mel B a hérité du surnom Scary Spice.




Et quand même, le clip qui vaut le détour!





Mercredi 7 novembre 2007 à 0:30





________L'air sentait la fraicheur, et la nostalgie. On aurait cru que des milliers de fleurs étaient accrochées aux murs, une odeur délicieuse se dégageait des draps . Il y avait quelques courants d'air, qui faisaient voler la gaze déposée sur mes épaules. Ma peau était fraîche, j'aimais cette sensation, l'après, le chaud, qui nous avait transpercé. J'ouvre les yeux. Seule, dans la pièce, je brûle. Il fait chaud, une bouffée de chaleur m'envahit, je suis Seule. Je vais ouvrir la fenêtre, et je n'arrive pas à trouver cette fraîcheur, que j'avais avant, quelques secondes auparavant, dans le frais, je sens du froid, du fade, de la douleur, un iceberg qui se colle à ma peau, et qui brûle, ça ne veut plus vraiment se décoller. J'allume la musique, j'entends les notes. Elles dégoulinent en même temps qu'une larme qui ne demandait qu'à glisser, le long de ma joue. Je me recouche, la fenêtre ouverte, un halo de lumière s'échappe, et se reflète sur le parquet. Je me rendors, et je retrouve du vent, un peu d'amour, quelque chose de colorée, plutôt rose, un chamallow, mou, qui tend à la détente. La pluie d'un coup me réveille, il pleut sur le parquet, je referme la fenêtre, je suis toujours entre deux eaux, entre deux vents, entre deux arcs en ciel. Je veux trouver une stabilité, une fusion. __________________

Samedi 20 octobre 2007 à 11:27




Les trompettes résonnent, les cors sonnent le début, les trombones annoncent le démon. Il tourne autour de la ville, rôde au dessus des maisons, terrifie les enfants. L'ombre se ballade sous les nuages, entre les étoiles, au dessus du clocher de l'église. Les violons jouent avec la détresse, ils augmentent le suspens, la peur, l'angoisse poignante des habitants. Les flûtes claquent, avec les trilles brillantes, qui rebondissent dans l'air, sautent sur de gros coussins moelleux, et attérissent dans le pavillon des gros tubas, qui font les basses, soutiennent le rythme, donnent du corps au morceau, offrent une âme à la gravité des violoncelles qui pleurent par sollicitude avec les contrebasses.
Un peu de musique pour adoucir les moeurs: 4ème symphonie de Tchaïkovsky, Une nuit sur le Mont Chauve de Moussorgsky, La passion selon St Jean Herr, unser Herrscher, dessen rhum de J-S Bach, Introit et Kyrie du Requiem de Mozart... La liste est longue, et surtout, il ne faut pas croire que la musique classique est une honte, que ça fait 'con' d'en écouter. Au contraire, c'est la créatrice de bons nombres de musiques aujourd'hui comptemporaines. La musique est une longue histoire, elle s'écrivait avec des carrés, et sans portés. Aujourd'hui, les notes sont rondes et sur des lignes, mais elles ne veulent rien dire sans l'interprétation d'un musicien, le sentiment des artistes qui donne un sens au texte.



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