C'est fou comme des odeurs peuvent nous enlever pour nous transporter à l'autre bout de la terre... Dans le bus, je sentis tout de suite que c'était quelque chose que j'avais déja sentie, auparavant, sans pouvoir mettre une date, une image, un moment, mais je su que c'était quelque chose qui m'avait agréablement plu. Je n'arrivai pas à savoir ce que c'était, ce qu'elle représentait, mais elle m'emmena loin, là où il fait encore jour lorsqu'ici il fait déja nuit. Tout d'un coup, le flash, le lit, le Dimanche, l'après midi, le Tunari, la descente de la montagne à quinze dans un taxi pendant une heure et demi, sa tête sur mon épaule. Les instants de cette journée remplie de sentiments contradictoires revinrent d'un coup dans ma tête, dans mes yeux, dans mes mains, j'étais dès lors très loin de la banlieu, du bus, du bébé qui pleurait à quelques mètres de moi. Non j'étais dans lamaison d'Alan, à la fin du mois d'Aout, à 4 jours de l'avion qui me ramena en France. J'eu envie de l'appeller, de lui parler, de l'entendre me dire des choses, juste sa voix, ou peut être même que j'aimerai rembobiner la bande, le film, qu'on revienne en arrière, retourner le sablier, juste deux petits mois en arrière. Pourvoir resentir cette odeur tout contre moi, la chaleur de ses mots dans le creux de mon oreille, sa douceur dans mon cou. Je ne connais pas le nom de ce parfum, j'aurais voulu le demander à l'homme, mais je n'ai pas osé.
Lundi 20 octobre 2008 Ã 20:04
C'est fou comme des odeurs peuvent nous enlever pour nous transporter à l'autre bout de la terre... Dans le bus, je sentis tout de suite que c'était quelque chose que j'avais déja sentie, auparavant, sans pouvoir mettre une date, une image, un moment, mais je su que c'était quelque chose qui m'avait agréablement plu. Je n'arrivai pas à savoir ce que c'était, ce qu'elle représentait, mais elle m'emmena loin, là où il fait encore jour lorsqu'ici il fait déja nuit. Tout d'un coup, le flash, le lit, le Dimanche, l'après midi, le Tunari, la descente de la montagne à quinze dans un taxi pendant une heure et demi, sa tête sur mon épaule. Les instants de cette journée remplie de sentiments contradictoires revinrent d'un coup dans ma tête, dans mes yeux, dans mes mains, j'étais dès lors très loin de la banlieu, du bus, du bébé qui pleurait à quelques mètres de moi. Non j'étais dans lamaison d'Alan, à la fin du mois d'Aout, à 4 jours de l'avion qui me ramena en France. J'eu envie de l'appeller, de lui parler, de l'entendre me dire des choses, juste sa voix, ou peut être même que j'aimerai rembobiner la bande, le film, qu'on revienne en arrière, retourner le sablier, juste deux petits mois en arrière. Pourvoir resentir cette odeur tout contre moi, la chaleur de ses mots dans le creux de mon oreille, sa douceur dans mon cou. Je ne connais pas le nom de ce parfum, j'aurais voulu le demander à l'homme, mais je n'ai pas osé.
Commentaires
Par lagrandemymy le Lundi 20 octobre 2008 Ã 20:13
J'adore cette photo, tu es très jolie dessus, et le couvre-chef ainsi que le manteaux, j'adore. ^^
Par Lundi 20 octobre 2008 Ã 20:26
le j'adore aussi cette photo lol. Tu fais plus âgée, sûre de toi et ces vêtements te vont très bien !
Gros Bisous, A+
Gros Bisous, A+
Par Mardi 21 octobre 2008 Ã 13:23
le La madeleine de Proust revue et corrigée ! :))
Par Mardi 21 octobre 2008 Ã 22:02
le La photo est a couper le souffle.
Tu fais ... beaucoup plus sure de toi comme le dit " mariness", beaucoup plus grande, avec ton style.
Tu es ... devenue une femme, une belle femme.
: )
Tu fais ... beaucoup plus sure de toi comme le dit " mariness", beaucoup plus grande, avec ton style.
Tu es ... devenue une femme, une belle femme.
: )
Par Jeudi 23 octobre 2008 Ã 14:35
le Trop classe ! =)
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