Mercredi 20 janvier 2010 à 1:25


tu me manques

 

Vendredi 15 janvier 2010 à 16:17


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j'ai la chaussure au pied droit depuis dix petites minutes, et j'ai déja mal
qu'est ce que ce sera quand je les porterais toute la journée...
vous voyez très certainement de quelles chaussures je parle
celles qu'on trouve à 20 euros dans tous les magasins d'asiatiques de Châtelet
cela faisait un moment que je lorgnais dessus, que je me disais
allez toi aussi, ose les 10 centimètres mais je n'avais jamais le courage
là je me suis dis allez c'est bon, faut bien s'amuser dans la vie
et j'ai craqué. Pour moins de 20 euros, elles étaient à moi.
mais en fait, le "faut bien s'amuser dans la vie" ne s'adapte pas trop à la situation
DIX CENTIMETRES SOUS LE TALONS QUOI c'est tellement trop!
j'ai marché 10 pas dans l'appartement, je meurs déja
alors pour m'habituer faut que je dorme avec? ou bien que je devienne Carry Bradsham
pour pouvoir marcher all day long avec ça sans avoir la moindre douleur aux pieds?
Même en étant moi même une fille, ya des mystères féminins qui me restent vraiment impénétrables...


Lundi 11 janvier 2010 à 14:27


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l'autre fois, jeudi dernier, Guro a débarqué au grand Choeur en retard
comme d'habitude le fameux texto oh no i'm late i'm on my way now!
elle est arrivé après que nous ayons terminé les vocalises
elle avait une magnifique manteau de fourrure marron qui la sublimait
au bout de 5 minutes je lui dis is it your perfect coat?
yep! i love him soooo much je lui dis you know i've got one too, but i'm afraid to wear it
you know, people talks... et là, elle m'a regardé d'un air stupéfait et m'a dit
hey dear! you're in Paris, nobody judge, everybody wears everything, dont be afraid
you're gonna be gorgeous in this coat. j'me suis dis à ce moment précis
faut être norvégienne pour se rendre compte que ouais, paris tu peux porter n'importe quoi
personne te regarder tellement ya du n'importe quoi pire que ton n'importe quoi autour de toi
alors, aujourd'hui, je sors la fourrure, parce qu'il fait froid et que ça me plait. Grrr!



 

Mardi 5 janvier 2010 à 23:40


j'en sais rien, je continuai de croire que ça pouvait changer
j'ai toujours penser que n'importe qui pouvait changer
ou bien je ne voulais pas voir que c'était pas possible
je fermais les yeux sur les choses que je ne voulais pas voir
et maintenant c'est le coeur au bord des lèvres que je vomis ma peine
j'arrive pas à y croire, Marie me dit au téléphone
non te laisse pas faire, ce soir t'es triste mais demain
demain tu bouffes du lion et tu l'oublies.
faut ouais, mais la je vous avoue que ça me gratte le coeur
assez sérieusement, une énorme poignée de poil à gratter dans le soutif
impossible de le virer pour le moment, c'est sous la peau
vivement bientôt les vacances d'été le soleil, la plage de Saint Jean de Luz, 
L'Espagne, les copines, et du temps pour oublier tout ça.


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Mardi 22 décembre 2009 à 22:38




J'ai fait ce rêve assez étrange, c'était le petit déjeuner le plus copieux de ma vie rêvée. J'étais dans un palace, aucune idée dans quelle ville, je me souviens à moitié avec qui j'étais mais ils étaient tous aussi gourmands que moi. Je crois que nous étions ici clandestinement car notre table était dans un petit coin, nous chuchotions comme si il y avait une limite de bruit autorisée, ou bien pour que personne ne s'aperçoive de notre présence. Au fond de la salle il y avait une table immense recouverte d'une très belle nappe en dentelle blanche, celle qu'habituellement nous mettons sur la table quand nous avons des invités de marque. Ici, cette nappe semblait être une habitude, elle était d'un blanc éclatant, même les mannequins des pub Freedent White ne pouvaient pas avoir les dents plus blanches que cette magnifique nappe. Au dessus de la nappe, posé sur la nappe, était dressé un buffet pour le petit déjeuner. Il y avait tout ce dont on peut rêver pour un petit déjeuner: des tartes aux fraises, des fraises enrobées de chocolat frais et craquant, des chouquettes à la crème, des galettes bananes (ça c'était plutôt bizarre), des pankakes avec du coulis de fruits rouges, de la crème anglaise, de la chantilly, des croissants, des dizaines de fruits coupés en morceaux... Je n'ai jamais vu de croissants aussi appétissants de ma vie, ils étaient trop parfaits pour être réels, dorés, bien enroulés. Mais je crois que je n'étais pas en France car j'ai entendu ma voisine murmuré à sa fille en français, avec un très large accent british ceci est un petit déjeuner à la française j'avais imaginé à ce moment le petit déjeuner à la française se prenant sur une ouverture à la française, pleine d'ornementations, avec un orchestre plus baroque tu meurs, des messieurs avec des perruques à la Louis XIV, comme dans Marie Antoinette lorsque les époux souverains prennent leur diner. En y repensant je me demande bien pourquoi c'est un petit déjeuner à la française, moi je n'ai jamais eu tout ça sur la table de la cuisine au petit déjeuner. Nous étions assis dans ce coin, le plus loin possible du buffet. Les gens se tenaient tous très droits sur leur siège, raides comme des allumettes. Ils souriaient tous d'un sourire presque aussi blanc que le nappe, c'en était presque effrayant car ils paraissaient tous heureux, bien assit sur leur chaise en bois magnifique et enveloppés dans un peignoir en soie. Nous nous sommes enfin décidés à aller chercher à manger, mais nous avions pris la plus petite assiette possible pour ne pas trop la remplir, les autres avaient tous des immenses assiettes avec seulement un pankake dedans et une goutte de coulis surmontée d'une fraise. Je suis allée me servir en première, mes copains n'osaient pas, après tout si personne ne se lançait qui allait bien pouvoir goûter à ces choses délicieuses trônant sur la table? Je pris une chouquette et des fraises enrobées. En revenant à table, j'en mis une dans ma bouche. Je m'éveillai. Je venais d'ouvrir les yeux. J'allai dans la cuisine prendre mon petit déjeuner. Hélas! qu'elle tristesse  que je découvris qu'aucune des douceurs vu auparavant dans mon rêve n'étaient dans la cuisine... J'en étais presque déboussolée.



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