Je ne sais plus vraiment ce que j'écrit, je sais juste que je suis au milieu de la balance,
entre se sentir bien et avoir un trou dans le coeur. Juste au milieu, et je sens qu'à n'importe quel moment, ça peut pencher d'un côté, ou bien de l'autre. Je fais des choses que j'aime, j'apprends des choses intéressantes, qui me passionnent, je commence à savoir pourquoi les compositeurs mettaient deux notes à côté, pourquoi décidaient ils de les associer, pas seulement pour la beauté du son, mais aussi à cause de quelques règles harmoniques.
Oui, je fais des choses qui me plaisent, mais en un quart de seconde, tout cela peut basculer.
Mais il y a un endroit du coeur qui continue à crier famine, à gratter, pas moyen de l'arrêter.
Il y a quelques mois, plus ou moins éloignés, cette partie était bel et bien remplie.
Tellement remplie, elle pouvait exploser à tout moment, tant il y avait de bonnes choses.
C'était des choses tendres qui faisaient frémir ce partie aujourd'hui vide.
J'ai commencé l'italien la semaine dernière, oui je trouve ça jolie et chantant à l'oreille.
Mais où est passé ma langue du coeur? Mes R qui roulent? Mes accents amérindiens au gout ensoleilé...
Des évènements remontent à la surface de ma tête, j'y pense souvent,
je voudrais pourtant passer là dessus, tourner la page de l'avant et d'en écrire une autre un peu
moins noire, moins mélancolique. Beaucoup de choses me manquent, c'est fou, jamais je
n'aurais pensé qu'une telle chose se produirait, je sais que là , c'est toujours couci couça,
entre deux humeurs, entre deux larmes, entre deux bonheurs. Ya des moments où j'aimerais
tirer le temps par le cou, lui dire de rembobiner la cassette, parce que vraiment, il court trop vite.
entre se sentir bien et avoir un trou dans le coeur. Juste au milieu, et je sens qu'à n'importe quel moment, ça peut pencher d'un côté, ou bien de l'autre. Je fais des choses que j'aime, j'apprends des choses intéressantes, qui me passionnent, je commence à savoir pourquoi les compositeurs mettaient deux notes à côté, pourquoi décidaient ils de les associer, pas seulement pour la beauté du son, mais aussi à cause de quelques règles harmoniques.
Oui, je fais des choses qui me plaisent, mais en un quart de seconde, tout cela peut basculer.
Mais il y a un endroit du coeur qui continue à crier famine, à gratter, pas moyen de l'arrêter.
Il y a quelques mois, plus ou moins éloignés, cette partie était bel et bien remplie.
Tellement remplie, elle pouvait exploser à tout moment, tant il y avait de bonnes choses.
C'était des choses tendres qui faisaient frémir ce partie aujourd'hui vide.
J'ai commencé l'italien la semaine dernière, oui je trouve ça jolie et chantant à l'oreille.
Mais où est passé ma langue du coeur? Mes R qui roulent? Mes accents amérindiens au gout ensoleilé...
Des évènements remontent à la surface de ma tête, j'y pense souvent,
je voudrais pourtant passer là dessus, tourner la page de l'avant et d'en écrire une autre un peu
moins noire, moins mélancolique. Beaucoup de choses me manquent, c'est fou, jamais je
n'aurais pensé qu'une telle chose se produirait, je sais que là , c'est toujours couci couça,
entre deux humeurs, entre deux larmes, entre deux bonheurs. Ya des moments où j'aimerais
tirer le temps par le cou, lui dire de rembobiner la cassette, parce que vraiment, il court trop vite.
Pour toi c'est normal que ça te travail encore, c'est tout frais... Bon courage et t'arriveras, on est forte :)
Gros Bisous, A+