j'attendais devant chez Minelli à Saint Michel depuis quelques minutes quand je reçu un texto i'm so sorry, i'm gonna be late! maintenant je suis au courant, je viendrais avec 15 de retard lorsqu'on se verra.elle est arrivé 5 ou 10 minutes après le message, en me disant oh i'm so sorry, but the guy de la banque me parlé trop je fonds devant son accent qui sort de nul part, sa manière de parler franglish, c'est fou comme certaines personnes peuvent nous fasciner. nous sommes parties vers l'île saint Louis. je déja venu ici! nous avions mis au point un système, je lui parlais anglais, et elle me répondait en français. mais l'appel de l'anglais était trop fort, et elle me parlait en anglais la plupart du temps. il faisait beau c'était une chance qu'il ne pleuve pas. elle m'expliqua qu'en Norvège ce n'est pas comme en France, personne ne donne son avis, personne ne manifeste, que nous on faisait ça car on avait la liberté grâce à la révolution française, mais que eux, personnes n'était pauvre en Norvège, alors perosnne n'osait se plaindre. elle se demandait aussi qui était Jean Sarkozy. je lui expliquai mais c'était compliquer de m'exprimer sur ça en anglais, je n'y arrive pas trop, on est pas très copains l'anglais et moi. je lui ai raconté les friperies parisiennes, que elle trouverait surement des choses, vu son style, elle trouverait pleins de choses. Nous étions en pleins dans le Marais, elle essaya des chemises de bûcherons, des trucs rayés, tout lui allait. j'avais pris aussi une chemise que je m'empressai d'aller payer. nous sommes sorties ensemble du magasin, fières de nos achats oh Paris c'est trop génial pour le shopping!elle m'offrit une cigarette tout en marchant vers St Paul. nous étions rue de Rivoli, mais quelque chose me manquait. je touchai mon épaule, mon sac, mon bras; plus d'appareil photo, plus de reflex, plus rien. je m'enervai dans la rue en criant oh my god! i'm so stupid, oh y god!! elle me disait i'm sorry i' can't run because of my shoes! but go on, go to the shop! i'm sure it will be ok!! je me sentais tellement mal, c'était juste le ciel qui me tombait sur la tête, j'étais assomée, je ne savais même plus comment retourner au magasin, c'est elle qui nous guida jusqu'à la friperie. je m'excusais milles fois auprès d'elle, de la faire marcher vite, qu'elle me voit dans cet état, mais avoir travailler 2 ans pour être aussi con... je ne pouvais pas supporter. je rentrai dans la boutique sur les nerfs, j'étais obligée de parler au vendeur en anglais car pour avoir un prix sur la chemiseque je voulais, je m'étais faite passer pour une anglaise. Please, i've forgotten my camera, please do you have it? euh yes. il me montra négligeament le devant de sa caisse, par terre. L'appareil m'attendait, sagement. il me montre que je l'avais oublié sur la tonne de foulard qui s'entassent dans un gros sac de la poste à côté du bureau. j'étais tellement soulagée, un sourire s'est figée sur mon visage durant le reste de la journée.
Â
C'est ta correspondante ? Quel reflex as tu ?
Ou se situe cette friperie, Ã Paris ?