Aujourd'hui j'ai prit un bain de deux heures, et il a plu. C'est cool les vacances. C'est marrant de faire 150 km à Oléron, et surtout, 45km pour aller voir un phare (mon phare oh oui le plus beau) noir et blanc, il faut monter 224 marches, et puis les garçons ne se sont pas contentés de descendre et de monter convenablement les escaliers. Ils ont courru! Ils ont fait la course! Tiphaine et moi on s'encastre dans les grandes fenêtres du côté pour ne pas qu'ils nous rentrent dedans dans leur folie d'arriver le premier. On rigole, en se demandant bien comment ils ont encore de la force. Nous on se tracte grâce à la rampe jusqu'en haut, plus que difficilement. Mais sur le chemin, en arrivant de Boyardville, notre excursion fut semée d'embuches. Deux crevaisons. D'abord une pas repérée. Puis cette même localisée. On a rempli les gourdes chez une vieille dame qui vit à La brée les bains depuis 70 ans, elle vit seule, son mari est mort en mer. On va sonner chez quelqu'un pour avoir une clé afin de démonter la roue du vélo loué de Tiphaine pour enlever le pneu pour mettre une rustine sur le trou causer par une épine de ronce big master dans la chambre à air. On repart, on lutte avec le vent, on y arrive, on regarde le couchée du soleil après avoir lutter-changer-monter-souffler-(souffert)-muscler nos jambes et nos fesses-l'esprit. On roule, on pédale. On est fatiguée. Les trucs comme ça, j'pourrai pas tous les jours. Demain, j'vous raconte le chantier.
Les garçons réparent activemment sa roue.
On est content d'être en haut, avec le vent qui nous barbouille la tête et le visage de fatigue, de sel.
Les garçons réparent activemment sa roue.
On est content d'être en haut, avec le vent qui nous barbouille la tête et le visage de fatigue, de sel.
Bisous miss