Dimanche 21 décembre 2008 à 19:35


je pensais passée une première soirée de vacances au calme,
tranquillement allongée dans mon lit à dormir. il y avait la répétition
dans le marais, à chanter la voix froide les cantates de Bach.
En allant à châtelet j'ai appelé Candice, je les ai rejoins chez
Gaultier. La soirée a duré jusqu'à très tard dans la nuit, tôt le matin.
je me suis sentie, un moment, complètement portée par le son
et j'ai compris un truc plutôt important, je parlais, je parlais, je lui
racontais ma vie, la musique et l'alcool m'emportaient, et il m'a
balancé non mais arrêtes de te prendre la tête, ne t'inquiètes pas.
J'ai compris vraiment qu'il fallait que j'arrête de penser, juste agir.



Mercredi 17 décembre 2008 à 20:33



En me réveillant je me suis vraiment dit putain mais t'es con de rêver de trucs comme ça aussi c'est trop fou de rêver d'un truc si improbable, qui n'arrivera surement presque jamais. C'est le genre de rêve qui te fait pleurer à chaudes larmes quand tu sors de ton sommeil le genre de rêve qui te murmure à l'oreille, encore endormie, cours toujours pour que ça arrive! J'ai ouvert les yeux, et j'ai pensé: pleurs, tu pisseras moins, ils sont si loin que rien est possible.Shirley était sur un grand balcon avec Thomas, il discutait. Violeta n'était pas là tout de suite. Je suis arrivée avec Tiphaine, et j'ai hurlé Shirley!!! estamos aqui!! Mirame!! Elle baissa la tête, elle me vit, et cria Angelinaaaa, cumpita mia!!! Llego! Elle est descendu par un escalier en escargot et m'a sauté dans les bras en me disant he esperado ese momento tanto tiempo... Lloro de alegria! Elle pleurait, ses petites larmes coulaient sur mes épaules, mais tant que ce n'était pas de la tristesse, elles pouvaient se mêler aux miennes. Elle me serait si fort, c'était bon. J'entendis un autre Cumpiiiiiii!!! C'était Violeta qui sortait de je ne sais où qui venait maintenant s'aggriper à mon cou, à pleurer en même temps que Shirley et moi. Après avir sécher nos larmes de retrouvailles, elles me parlaient, Benoît était là avec Tiphaine, Thomas était descendu du balcon. Nous discutions, elles nous parlaient en français avec leur petit accent d'Amérique du Sud. J'étais surprise qu'elles parlent français, et si bien, je leur demandai mais où avez vous appris à parler comme ça? Et Shilrey me répondit: c'est facile d'apprendre quand on aime. Je me suis réveillée après cette déclaration d'amitié imaginaire. Les larmes ont coulé autant que dans mon rêve, mais de peine cette fois ci.

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Lundi 15 décembre 2008 à 23:43


FRANCHEMENT YA DES JOURS ON FERAIT MIEUX DE GARDER LES YEUX FERMES
BIEN ALLONGEE DANS MON LIT, JE SAVAIS QUE LA JOURNEE COMMENCAIT MAL
RAPHAEL EST RESTE DES HEURES DANS LA SALLE DE BAIN,  J'AI ATTENDU 20MIN
LE BUS CE MATIN, ET PUIS L'AMPHI, ET LA JE LIS UN TRUC QUI ME DEPLAIT.
NON DES FOIS, JE VOUS JURE, IL Y A CERTAINS JOURS QUI SONT FAIT POUR NE PAS
SE LEVER ET NE RIEN FAIRE.

Lundi 15 décembre 2008 à 17:51


Dimanche, toute la journée, ça cognait dans ma tête, même les dolipranes ne calmaient pas la douleur.
Des minis marteaux qui frappaient partout dans chaque recoin de mon crâne, dormir fut mon seul remède.
Je me suis réveillée Dimanche matin en me demandant où j'étais, à côté de qui, où était Ivana?
Je ne me souviens pas comment la soirée s'est terminée, qu'est ce que j'ai bien pu dire cette fois ci.
Ivana m'a raconté aujourd'hui ce que j'avais dis, et je tourne toujours sur le même refrain,
je dis toujours la même chose quand je suis dans cet état là, mes mots dépassent ma pensée
ou bien ils l'illustrent vraiment, dans un registre plutôt simple et très honnête. J'ai honte.
En amphi, nous avons étudié les instruments de la musique baroque, l'ancêtre du trombone,
le serpent, la viole de Gambe, la petite flûte. Je suis devenue triste, j'ai pleuré sur le quai du métro
Ivana essayait de me consoler, la pauvre si elle savait que pour ce coup là je ne suis pas très consolable.
Il y aurait juste un médicament pour oublier toute cette histoire qui pourrait m'aider et sécher mon coeur.


 
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Samedi 13 décembre 2008 à 17:06


Depuis une semaine, le sommeil avait du mal à venir.
Dormir qu'entre 4h et 8h du matin, c'est épuisant.
Alors hier soir, maman m'a ramené une petite boite de cachets.
Tout petit, on peut même les avaler sans eau ni mie de pain.
Dès que je me suis allongée, j'étais dans les bras de Morphée.
C'est formidable, de si petites choses peuvent faire un si grand effet!
Dans un mois c'est les partiels. Je flippe.


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