Vendredi 4 juillet 2008 à 20:29

MENTION ASSEZ BIEN LES GENS
je suis trop contente.

Jeudi 3 juillet 2008 à 22:38




Je ne sais pas trop quoi faire, le nord ou le centre, un peu perdue. La Sorbonne je crois que c'est fini, j'irais voir une dernière fois lundi mais je pense que je vais choisir Paris 8, on est quand même très mal informé en ce qui concerne les inscriptions en fac pour la rentrée... J'ai peur de m'engager dans quelque chose de fou, je dois prendre une décision, j'ai peur de l'année prochaine, beaucoup de nouvelles choses, j'entre dans un nouveau cadre de vie, de nouveaux fonctionnement, un envol. C'est beaucoup de bruit pour peu de choses, mais en pensant à tout ça, demain, l'année prochaine, dans moins d'un mois, j'ai des petits picotements dans le ventre et ça me gêne un peu. Il y a pleins de petits trucs qui tournent autour de ma tête comme des petits satellites et qui m'embrouillent l'esprit, je ne peux pas être tranquille, ça gravite tout autour, des petites idées noires, des remords, des déceptions, ce soir c'est pas la joie, mon esprit tangue comme sur le pont d'un bateau. Demain sera plus festif. Esperons...
 

Mercredi 2 juillet 2008 à 22:03

ELLE EST ENFIN LIBRE!

Mercredi 2 juillet 2008 à 13:27


Il faisait trente et un degrés en pleine soirée, calme plat, Magalie à l'arrière de mon vélo.
Courageuse, je monte les côtes, je nous traine, on est un peu lourde, ma roue arrière
s'affaisse un peu. Il n'y a pas un gramme de vent, et je me sens vraiment en vacances
d'été, la nuit sans avoir un gilet sur le dos, libre sur le vélo. C'est plaisant. Je me sens
bien, il y a juste un bémol qui me froisse le coeur comme du papier, ça crisse et ça me
rend triste.
(Vidéo: La Javanaise du Concert de Vendredi soir)



Mardi 1er juillet 2008 à 1:10



                      Mon coeur est un peu comme coupé en deux, comme si quelqu'un avait pris un gros couteau de cuisine et paf, entre les deux parties du coeur, maintenant, il y a du sang partout. Ã§a saigne, ça gratte, je ne sais plus quoi penser vous savez, si oui, si non, pourquoi pas, cette situation me fait un peu penser à ce que Benoît disait au Week end de relais à Villevaudé, assis sur les petits rondins, dans la nuit, tout en machouillant les carambars peut être que oui plus oui que non pour elle mais lui il comprend pas trop alors du coup c'est plus non que oui même si elle essaye mais non. Et moi dans tout ça, dans toutes ces réflexions qui n'aboutissent nulle part, et bien je me perds. Je nage un peu dans un lac sans bord, je ne touche jamais la côte, je marche dans un désert sans fin, je ne vois pas trop l'aboutissement de cette histoire, les garçons sont quand même très très longs à se décider, ils prennent leur temps, comme si la vie de l'autre leur appartenait, non je proteste, ils réfléchissent mais nous, les filles, on ne doit pas attendre comme ça, alors s'il vous plait les garçons, est ce que vous pouvez vous dépêcher, surtout toi, parce que ça fait un bout de temps que je te réserve la place, toute chaude dans le parking de mon coeur mais si tu es trop long, la durée va expirer et la place va devenir payante.



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